Merci de votre engagement à relever le Défi du transport écologique. Nous confirmons votre participation au tirage hebdomadaire de 350 $.
Vous trouverez les réponses au jeu-questionnaire ci-dessous.
Vrai ou faux? Enfourcher le vélo pour vous rendre au campus n’émet aucune émission, ce qui en fait l’une des options de déplacement les plus écoresponsables.
Réponse : Vrai
Les vélos n’utilisent aucun combustible fossile et n’émettent aucune émission. De plus, la fabrication et le maintien d’un vélo sont beaucoup moins énergivores que ceux de la voiture; l’empreinte écologique est donc plus faible.
Vrai ou faux? La construction d’autoroutes résout les problèmes de congestion routière et réduit les GES.
Réponse : Faux
La construction ou l’expansion de voies routières risque d’attirer les automobilistes qui évitaient certaines routes par crainte de congestion, selon un concept appelé « demande induite ». La construction de nouvelles routes contribue également aux GES en raison des procédés employés et du carbone libéré par des matériaux comme le ciment.
Vrai ou faux? Pour les voyages courts, l’avion est toujours mieux que la voiture parce qu’il y a beaucoup de gens dans l’avion.
Réponse : Faux
Pour les trajets courts, l’avion n’est pas mieux que la voiture, même s’il y a beaucoup de gens à bord. En effet, les avions consomment beaucoup de carburant au décollage et à l’atterrissage, ce qui les rend moins efficaces sur les courtes distances que les voitures.
Fidèle aux objectifs de développement durable des Nations Unies, le défi ImpAct-Climat invite votre établissement (population étudiante, personnel et corps enseignant) à approfondir leurs connaissances sur les GES et à prendre des mesures concrètes pour réduire les émissions.
Notre prochain thème : la réduction des déchets, qui marque la dernière semaine du défi. Il n’est pas trop tard pour inviter vos camarades et vos collègues. Faites connaître le défi, et n’oubliez pas : chaque participation augmente les chances de votre établissement d’obtenir une bourse d’études de 3000 $ pour un étudiant ou une étudiante chef de file de l’action climatique.